Pour conclure, nous avons pu voir qu'Hitler dans un premier temps cherche
à faire accepter ses ideés antisémites et raciales avec "Mein Kampf".
Il dit ce que les allemands veulent entendre en pointant du doigt les responsables
(français, juifs) tout en créeant une aura particulière autour de lui (culte du chef)
et de son parti. Ses propos reflètent aussi sa politique d'expansion
(espace vital de survie) en affirmant sa volonté de préparer l'Alllemagne à la guerre mentalement et physiquement
(réarmer la Rhénanie, propagande belliqueuse etc...).
Dans un second temps, nous avons pu analysé qu'Hitler augmente la violence
de ses propos lorsqu'il est élu (cf discours du 30 janvier 1939). Il parle alors très
clairement de "races" dont certaines qui doivent être éliminées de la surface de la Terre.
Pour y parvenir, il doit se rendre maître de l'Europe puis du monde pour mettre à bien son idéologie démentiel
avec l'aide de ses alliés (Italie, Japon, Bulgarie...).
Par le biais de ce projet sur le nazisme, nous avons pu prendre conscience que certains algorithmes peuvent nous faciliter la tâche mais les résultats sont pourtant à prendre avec du recul. En effet, le programme qui comptabilise les occurences nous a fait gagné beaucoup de temps (imaginez si on avait dû le faire manuellement...). En revanche, certains mots comme "je" ; il" ou "vous" n'ont pas de sens concret car le mot se rapporte à plusieurs sujets à la fois donc difficile d'en tirer des conclusions. Pour effectuer une bonne analyse, le mieux est de se baser sur des noms et des verbes. Pour finir, même si les machines prennent de plus en plus le pas sur l'Homme nous avons encore de beaux jours devant nous car elles ne sont pas dotées de conscience alors que nous oui (enfin pour la plupart d'entre nous !).